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Nouvelles

France-Québec sur la sclérose latérale amyotrophique (SLA)

±ĘłÜ˛ú±ôľ±Ă©: 21 March 2014

Plus de quatre-vingts chercheurs français et quĂ©bĂ©cois  se sont rencontrĂ©s les 20 et 21 mars 2014 Ă  l’institut et HĂ´pital neurologiques de MontrĂ©al, UniversitĂ© ±«ÓăÖ±˛Ą et centre universitaire de santĂ© ±«ÓăÖ±˛Ą- Le Neuro dans le cadre du second atelier scientifique France-QuĂ©bec sur la sclĂ©rose latĂ©rale amyotrophique associĂ©e Ă  la dĂ©mence fronto-temporale (ALS/DFT). La première Ă©dition avait eu lieu Ă  Paris en juin 2012 Ă  l’institut du Cerveau et de la Moelle Épinière (ICM). Cette rencontre est co-organisĂ©e par la Pre Heather Durham (Le Neuro) et le Dr Edor Kabashi (ICM).

Cet échange stimulant entre chercheurs français et québécois a pour but de mettre en place et de consolider des collaborations scientifiques durables qui permettront de mieux définir les mécanismes responsables de cette maladie dévastatrice, et de développer de nouvelles pistes thérapeutiques.  Afin de promouvoir les échanges entre la France et le Québec, Le Neuro et l’ICM sont d’ailleurs sur le point  de signer un accord cadre qui permettra l’échange d’étudiants entre ces deux institutions.

La sclérose latérale amyotrophique (SLA), connue sous le nom de maladie de Lou-Gehrig, est une maladie neurodégénérative tout au cours de laquelle la faiblesse musculaire progresse jusqu’à la paralysie. La SLA résulte de la mort de motoneurones (des cellules nerveuses) du cerveau et de la moelle épinière qui contrôlent le mouvement des muscles volontaires. La plupart des personnes atteintes de SLA décèdent en l’espace de deux à cinq ans après le diagnostic, mais un petit pourcentage survit une dizaine d’années ou plus. La SLA est encore incurable. Quelque 3000 adultes canadiens en souffrent et moins d’un sur dix ont des antécédents familiaux de la maladie.

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